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Nous recherchons un Hokage, ainsi que des ninja pour tout les villages
Nous recherchons Juugo et Suigetsu!!!
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 Arrivé ou Départ ?

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MessageSujet: Arrivé ou Départ ?   Arrivé ou Départ ? Icon_minitime1Lun 26 Jan - 23:51

Mon manteau vole derrière moi et claque sèchement à cause du vent violent. Je resserre ses pans autour de moi, remontant le cache-col et la capuche par la même occasion. Je réajuste mon sac à dos aussi, qui pèse bien lourd sur mes épaules après les semaines de marche. Du haut de cette grande montagne je peux voir le village qui m’attend. Une pointe d’allégresse monte en moi, malgré le mauvais pressentiment grandissant aussi. Puis le noir total …

Citation:
Rien, sinon l’envie de fuir... Une douleur lancinante, lacérante et obsédante, le couloir est sombre, il n’y a rien. Que ton image. Pas de souffle, aucune vigueur, rien. Tout est sombre, tout est noir. Le mal de mes entrailles ne me quitte plus... Une rose, une rose noire... Une rose dont même l’apparente beauté est d’un sombre présage, mais les épines sont là... Des épines tranchantes ravissant le moindre de mes souffles. Je n’existe plus, je ne suis plus rien, sinon l’ombre de moi même. L’ombre de ces pétales d’ébènes. Tout extraire de moi, comme on extrait le pu des plaies ouvertes, voilà ce qu’il faudrait, mais je n’y arrive pas, je ne peux pas, cette douleur accablante est plus vitale que la vie elle-même. Comme le pu... Les mièvreries, la pensée, les contradictions, rien, plus rien n’existe, plus rien n’a de peine d’exister, tout est sans intérêt. Tout est d’un vide profond, d’un néant amer. Un vide qui se remplit, qui se remplit d’images vaines. Ces images sombres, là, pour me sortir sournoisement de ma douce quiétude. La réalité n’a plus goût. Tout est banal, rien ne m’atteint. Le regard des gens m’indiffère, mon propre jugement sur eux m’indiffère. Il est soudain puis s’estompe comme les effluves de cette rose noire que je n’arrive pas à saisir, sinon ses infâmes épines. Seul vestige de sa pensée pour moi. Moi. Moi. Toujours moi. Encore moi. Et moi ? Dans tout ça ? Même ce lyrisme dégoûtant me désole, il m’écœure. Mais voilà, je ressens tout ça, je vois tout ça, mais tout est une douleur interne et rien ne paraît. Je n’ai pas le mérite de manier les mots comme je voudrais les manier, mais je n’ai pas non plus le simple mérite de base de savoir pourquoi, comment cette obsession prend possession de moi, de tout. Plus rien ne m’amuse, j’ai peut-être mal. Mais ce n’est pas un appel à l’aide, c’est la vaine et nième tentative de transposition de mon mal muet sur papier. Un mal qui me submerge, comme ce couloir noir. Mais qu’y a-t-il au bout de ce couloir ? Ce génocide de mes pensées me mènera t'il quelque part ?
… L’alchimie n’est pas finie ...
… Tout ce que j’espère ...
… C’est que ce n’est pas de l’Amour ...
… La prison d’or vaut-elle mieux que le couloir ? …
… Et quelle autre alternative ? …
… Je ne sais pas ...
… Je sais plus ...
… Sort de moi ...




Un mur gris et sombre apparaît en face de moi. Je pense d’abord que ce mur est en fait le plafond mais je me rends vite compte que je ne suis pas couché mais bien debout. Je me demande alors comment est-ce possible que je tienne dans cette position. Quelques choses me lacèrent les poignets. J’estime avoir eu ma réponse en supposant que cette chose est en fait des liens ou des menottes. Mon esprit est encore embrouillé et ma vision brumeuse, trop de facteurs « confusion » pour que je puisse réfléchir calmement et analyser la situation.
Après quelques minutes les yeux fermés je commence à retrouver ma clarté d’esprit. Ce qui me rassure mais en même temps je pense avoir vécu pire. La pièce dans laquelle je suis enfermé est complètement close et je ne perçois aucun bruit venant de l’extérieur, comme si j’étais complètement abandonné. Et puis je me rends compte que je ne suis pas seul. Des mouvements devant moi attirent mon attention. Une forme sombre que je n’avais pas remarquée auparavant vient de s’agiter. Il me semble que c’est un homme … Il est étendu là, nu, sur le béton, recroquevillé comme un fœtus ayant perdu sa mère prématurément. Son corps est aléatoirement couvert de glace fondue partiellement. Il grelote au rythme de tambours d’une fanfare oubliée.
Suspendu au plafond, je le regarde. Je suis paralysé et ficelé aux poutres de métal avec un fil qui s’enfonce un peu plus dans ma chair à chaque respiration. J’observe, j’analyse.
Le jeune homme glacé est là depuis quelques heures déjà. Depuis que j’ai ouvert les yeux, il n’y a eu que lui. Il n’y a que lui. Les néons frétillants qui se reflètent sur sa peau humide lui donnent des propriétés électriques, comme si des éclairs allaient jaillir de lui à tout instant, comme si un pouvoir incomparable dormait en lui.
Mais c’est le calme plat, seule sa respiration agitée qui se calme graduellement donne un souffle de vie à cette pièce cloîtrée qui semble sans issues. Aucune fenêtre, aucune porte ou ouverture en vue. Comme si cet endroit était un piège, une prison éternelle, autant pour le corps que pour l’âme. Comme si c’était une autre vie.
Une respiration de plus, je sens quelques légères gouttes de sang glisser le long des fils qui m’immobilisent au sommet de cet endroit. Ironiquement, il semble qu’à chacune de mes respirations, le jeune homme sous moi gagne un peu plus de vie. J’espère qu’il revienne à lui à temps pour que l’on sorte d’ici. Avant que mon sang ne soit totalement évacué de mon corps, goutte à goutte.
Oh, bien sûr, je ne serais pas une grande perte pour l’humanité, je le sais bien … Mais est-ce que ma chance sur cette terre est déjà terminée ? Est-ce que mon temps a déjà expiré ? Si j’avais eu un avertissement, ou si j’avais eu les moyens de me débattre pour prouver que j’en vaux encore la peine, ça aurait été différent. Mais je suis paralysé, incapable de bouger ou de parler. Ma vie s’essouffle à chaque inspiration que je prends. Je ne peux qu’observer, je ne fais qu’observer. Un homme, inconscient, qui doit frôler l’hypothermie.
Je me demande combien de temps il a été gardé en glace ? Et pourquoi il se trouve là lui aussi ? À la merci d’un destin trop mesquin pour allouer un deuxième tour.
Je me surprends à observer son corps, ses formes. Un mâle qui semble assumer sa pilosité, ses formes un peu généreuses mais tout de même acceptables. C’est ça, il dégage une acceptation de lui-même déstabilisante. Même s’il est là, recroquevillé et qu’il ne dit pas un mot, il respire l’authenticité, l’assurance et la confiance. Une symbiose totale entre ses qualités et ses défauts.
Ce que je vois et ressens me faisait peur. Cet homme est l’image exacte de ce que je ne serai jamais. J’ai trop pris l’habitude du masque de la joie et du bonheur, l’habitude de ravaler la haine et la tristesse. Cet homme représente l’échec de ma vie.
Son corps se soulève d’un violent soubresaut, l’homme tousse et se met à vomir. Il vomit de la soie, rose, jaune, bleue … Il vomit et vomit, le tissu s’étendant autour de lui tranquillement, créant un amas de douceur et de couleurs vives. L’étranger reste là, laissant les dernières contractions de son abdomen éjecter ce qui reste de soie.
Je regarde le spectacle, abasourdi par l’absurdité et l’impossibilité de ce qui venait de se produire. Le sol est couvert du fragile tissu.
Je me libère de mes liens en les dispersant tout simplement en poussière. Je retombe mollement au sol, debout.
L’homme se lève tranquillement, gardant la tête basse, chuchotant des paroles que je n’arrive pas à comprendre. Il étend lentement ses bras en croix en commençant à fredonner délicatement, tout bas, ce qui semble être une berceuse pour enfant.
Je sens les gouttes de sang s’évader de mon organisme à un débit de plus en plus rapide. Étrangement, lorsque le sang va s’échouer sur les draps colorés qui couvrent le sol, il ne laisse aucune trace, aucune tache. Le tissu l’absorbe entièrement, ne laissant aucune empreinte de son existence.
L’homme marche lentement vers le mur qui se trouve face à nous deux. Il pose sa main droite sur la paroi de béton en continuant de fredonner calmement. Le mur semble se ramollir, s’onduler sous la pression de la main contre lui. Cet homme va pouvoir nous faire sortir d’ici. Il connait le moyen de s’évader de cette prison.
D’un geste vif, il se tourne vers moi, me fixant dans les yeux, me dévoilant son visage. Un cri réussit à se libérer de ma gorge, amenant un sourire satisfait sur le visage de l’homme qui soutient toujours mon regard avec le sien.

" Je suis celui que tu as toujours aspiré à être, et aujourd’hui, tu réussis à devenir moi. Tu mourras à l’intérieur de ta propre tête pour me laisser la place. Lorsque ta vie sera entièrement entrée en moi, je serai, j’existerai. Tu seras ce que tu as toujours souhaité, mais tu ne seras plus là pour le constater. Tu deviendras une meilleure personne, pour les autres et pour toi. Pour nous. Pour moi. "

Je me regarde, sentant les dernières gouttes de sang me quitter, et je me vois, nu, la glace sur mon corps ayant maintenant entièrement fondu. Je viens de libérer le vrai moi, enfoui, congelé dans mon esprit depuis des années. Il va prendre la place qu’il méritait, qui lui revenait. Il va devenir celui que vous verrez lorsque vous me regarderez dans les yeux …
~¤~ Elipse ~¤~



Je ne sais pas si ce que je viens de vivre dans cette pièce sombre est réel, je suis pensif. Qui m’a donc frappé par derrière ? Qui m’a amené et m’a attaché dans cette prison ? Ce qu’il s’est passé … Est étrange. Ce qu’il s’est passé me tourmente, était-ce réel ? Était-ce le fruit de mon imagination alors que mon sang se déversait sur le sol le temps que je comprenne ce fait ? Après l’avoir compris je ne mis pas longtemps à me libérer de chaînes futiles et à quitter cette prison bien trop fragile. Et me revoilà, près du village, à son entrée. Je marche en réfléchissant. Je me sens différent et pourtant je n’ai pas changé. Il me semble …

J’arrive sur la place du village, je laisse dans un coin de ma tête mes tourments, j’enlève mes écouteurs de mes oreilles et me concentre sur la tâche qui m’incombe. La place principale est plutôt grande, une foule s’y active, quelques uns sont marchands, les autres sont des paysans ou des mendiants. Je me lance vers le centre de l’esplanade en jetant mon sac près de la statue représentant sûrement un héro du village. Je lis sur le socle à la volée :
« Satojito Sagane »


Je pense que c’est encore un ninja des temps anciens ayant accomplit quelque exploit au service du village. Je monte sur le rebord avant de cette statue pour me démarquer de la foule et attirer son attention.

" Mesdames ! Messieurs ! Je ne serai pas long, je vous demanderai donc quelques minutes d’attention. Je me présente, Tikaru Toushin, nouveau Anbu. Je tâcherai de m’appliquer dans mes nouvelles fonctions. Maintenant que je suis présenté je demanderai de faire passer le mot : je veux tous les ninjas disponibles dans mon bureau dès ce soir ! Je tiendrai la population au courant de chacun de mes actes et de chacune de mes décisions. Ayant tout dit, je me retire pour l’instant dans la grande tour. "

Je vois quelques personnes s’approcher de moi déjà. J’attrape mon sac en vol alors que je m’élance vers l’immense tour qui se découpe au loin sur le ciel, tout en remettant mes écouteurs en place.
Me voilà dans « mon » bureau, face au village que je surplombe en digne dirigeant, le regardant au travers de l’immense baie vitrée. Les mains croisées dans le dos j’ai posé mon sac près de moi et accroché mon manteau à la chaise. J’attends maintenant mes subordonnés, deux ou trois plans en tête …
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MessageSujet: Re: Arrivé ou Départ ?   Arrivé ou Départ ? Icon_minitime1Mar 27 Jan - 0:09

Premier pas dans le village de Konoha

Hami Sakki avait enfin trouvé un village qui voulait bien d’un meurtrier comme lui, le village de Konoha. En entrant dans se village cela faisait comme si on était ailleurs, comme si on entendait plus du tout les choses extérieur au village, cela était surement un moyen de cacher et sécuriser le village. A l’intérieur un son paisible flottait dans l’air mais les habitants n’avait pas l’air paisible pour autant, la première décision de Hami était de trouver des vêtements de rechange car les sien était tacher du sang de ses amis fermiers. Il contait tout d’abord faire les boutiques, mais que comptai il acheter sans la moindre pièce. Certes les villageois l’avait laissé rentrée mais ce n’est pas pour autant qu’il allait être nourrit, loger et habiller à l’ œil, puis quoi encore.


Hami se dirigea donc vers la première boutique ou un homme se tenait droit, le regard en direction de Hami, un regard glacial, entre de la peur et de la haine, le marchand regardait Hami comme s’il était un monstre. Hami arriva devant le marchant et lui dit.


Hami dit : « Marchand !!! J’ais besoin de vêtement neuf. »


Le marchand dit : « Tu as de quoi payer. »


La première pensé de Kyo était d’assommer le marchand et de lui voler des vêtements neuf mais son cœur lui disait le contraire, commencer par un vol dans le seul village qui l’avait accueilli était pour lui comme un déshonneur. Kyo décida de partir de la boutique tout en disant au marchand avec un grand sourire.


Hami dit : « Non, je n’ais pas d’argent désolé, au revoir et merci quand même. »


Hami continua sa route vers d’autres boutiques de vêtement et en ressortait toujours avec son sourire béat mais sans de nouveaux vêtements. Hami en avait un peu marre de marcher pour rien, il décida donc de s’assoir au pied d’une statut ou était marquer sur le socle, « Zabieru Kishin, le héros de tout les temps ». Au moment même ou Hami posa ces fesses sur le socle de la statut, tout les regards était froidement diriger vers lui lorsqu’une passante lui dit de se lever s’il ne voulait pas avoir d’ennui, comme si Hami avait fait un affront au village tout entier, ce héros devait vraiment être idolâtré par tout ces villageois. Mais qui était donc ce personnage si mythique pour les habitants de Konoha.


Hami se leva donc et repris la route pour trouver de nouveaux vêtement, après quelques heures de marche il avait abandonné l’idée de nouveaux vêtements, il se dirigea donc vers un point d’eau qu’il avait vu lors de sa longue marche a pied. Hami se déshabilla près du point d’eau et plongea la tête la première, sa lui faisait du bien de se laver, cela faisait plusieurs mois qu’il n’avait pas pris un bon bain, imaginé l’odeur. Pendant qu’il se lavait, deux jeunes chenapans rodait dans les parages, surement pour jouer un tour au nouvel arrivant de Konoha, Hami avait le dos et les garnements en profita pour voler les seul biens qu’il restait a Hami, l’un avait voler les vêtements de Hami et était partis dans une direction et l’autre avait voler son sabre et était partis dans la direction opposé.


Un dilemme majeur était apparu comme un coup de vent, rester dans l’eau à cause de sa nudité, courir après l’enfant qui lui avait volé ses vêtements ou celui qui avait volé son sabre. Le doute ne resta pas longtemps dans le crane de Hami, la chose la plus importante pour lui était son sabre, le seul souvenir de son défein père. Hami décida donc de sortir de l’eau qui devait être très froide car une partie de son corps ne le mettait pas son avantage. Il attendit un peu de reprendre du poil de la bête pour se mettre à pourchasser le jeunes voleurs, et hop il était partit comme une flèche. Notre jeune Hami courrait donc nue dans les rues de Konoha, les femmes de Konoha le regardait avec envie et désir tendis que leurs maris se misent tous l’un après l’autre à courir après , la jalousie, Hami quelle vilain défaut.


Hami se retrouvait donc occupé à courir après un gamin tout en essayant d’échapper aux maris jaloux. Il avait presque rattrapé son voleur lorsqu’une belle jeune femme se mit nue sur le passage de Hami, Hami s’arrêta et dit à la jeune femme avec un air de dragueur invétéré


Hami dit : « Excuse moi, je n’ai pas le temps mais je reviendrai poupée !!!! »


Il se remit à courir une fois sa petite partie de drague fini, il avait pris beaucoup de retard sur l’insolent gamin et était par contre tout proche des maris jaloux. Avec la peur de se faire attraper il mit un coup d’accélérateur et rattrapa assez rapidement le jeune voleur et sema tout aussi rapidement les maris jaloux. Notre jeune et vigoureux ninja était donc là nus avec son sabre dans les mains à essayer de trouver de quoi cacher sa nudité tout en se cachant car les maris jaloux rodaient toujours dans les parages. Au bout de quelque heure de marche, il trouva des vêtements accroché à des fils, certes des vêtements mais des vêtements féminins, même uniquement des sous vêtements. Hami avait le choix rester nue ou mettre des sous vêtements de femme, le choix était tout fait, il prit se qui lui tomba sous la main et l’enfila, la malchance était avec lui, il était tombé sur une petite culotte de gamine avec des fraises dessus, il réussit à l’enfiler mais elle était un peu juste, il avait vraiment l’air malin là dedans.


Hami repris la route pour trouver des vêtements plus adapté a son corps d’attelet mais en vin, jusqu’au moment ou il se fit repéré par les maris jaloux ainsi que par leurs qui avait remarqué la petite culotte, Hami recommença donc à courir pour échapper aux villageois lorsque soudain il passa devant la statut du célèbre Zabieru Kishin et rentra dans le bâtiment derrière la statut. Le bâtiment était sombre, poussiéreux, il y avait plein de toiles d’araignée et des trous énormes dans les murs, Hami ne l’avait pas vu mais au dessus de la porte de se bâtiment était marquer « Dojo de Zabieru Kishin ». Les trous dans les murs était donc fait par le difficile entrainement de ce héros légendaire, Hami avança dans le bâtiment et arriva dans une sale qui ressemblait a un abri anti atomique, il fallait sans au moins sa pour supporter les attaques de la légende vivante. Dans le fond de la sale il y avait un rectangle accroché au mur, il était plus poussiéreux que tout le reste comme si un champ magnétique attirait la poussière. Hami se dirigea donc vers cette chose et nettoya rapidement, c’était donc du verre avec à l’intérieur des vêtements, un vieux kimono un peu déchirer. Hami le pris et l’enfila, il lui allait magnifiquement bien, sur le socle de bois qui maintenait l’endroit ou était entreposer le kimono, une inscription était graver, « kimono no Zabieru Kishin », ce vêtements appartenait donc a cette légendes vivantes, notre amis Hami allait il continué ses bêtises afin de se faire haïr par tout le monde de Konoha.


Hami avait donc retrouvé son sabre, il avait des vêtements certes loin d’être neuf et propre mais il se sentait a son aise dedans, il décida donc de sortir de se bâtiment lorsqu’il vit que les habitants l’attendais, surement pour lui faire sa fête. Après trois jours enfermé dans se bâtiment sans boire et sans manger, il n’eu que le choix de sortir ou de mourir, il décida donc de sortir, il ouvrit la porte du dojo pour sortir, les habitants l’attendaient, le calme était plat même le son paisible habituelle avait disparu, tout les regards était froid, qu’allait donc t-il se passer ?


Hami avança doucement vers l’attroupement des villageois jusqu'à ce que les villageois voit qu’il avait enfilé le fameux kimono, allait il le tuer ou le laisser en vie, d’un seul coup l’attroupement de villageois se transforma en deux rangers qui menait a un même point. Tout les villageois avait formé comme une allé pour laisser le passage a quelqu’un d’important, ce quelqu’un était Hami. Les villageois étaient à genoux au fur et a mesure que Hami passait devant eux, ils avaient vu en lui comme une ressemblance ou rapprochement, non pas physique mais plutôt morale entre notre jeune Hami et le légendaire Zabieru Kishin, était le regard de Hami qui ressemblait à celui de la légende, était grâce aux vêtements ou était le faite de se trimballer complètement dans les rues de la ville. Pour on ne sait quelle raison les villageois avait vu en Hami.
Le nouveau Zabieru Kishin !!!!


Au fur et à mesure que Hami avançait dans allé former par les villageois, des pleurs et des rires janissaire sur le visage des habitants, ceci était belle et bien de la joie. Au bout de quelque minute de marche Hami vit enfin vers quelle endroit amenait cette allé, arrivé à dix mètre du bâtiment, Hami vit au dessus de la porte une inscription, « quartier général de Zabieru Kishin », derrière notre jeune Hami les villageois avait reformé un attroupement comme pour l’empêcher de faire demi tour, il entra donc dans ce bâtiments qui était en fête la taverne de Konoha ni plus ni moins, et oui la légende avait fait de cette taverne son quartier général. Hami arriva devant le bar et s’asseyait sur un tabouret, le même tabouret ou s’asseyait la légende, le tavernier s’approcha de notre jeune Hami et dit


Le tavernier dit : « Prend ce que tu veux, c’est gratuit »


Tout les villageois étaient à la porte de la taverne à attendre que notre Jeune Hami prononce son choix.


Hami dit : « Tavernier, ta plus forte vodka s’il te plait. »


Les mots étaient prononcer et se devait être les bons car d’un coup d’un seul les villageois, le sourire au visage commanda à boire dans cette taverne et commença a faire la fête avec notre Hami. Pour les villageois un nouveau Zabieru était né.


Après une bonne journée de cuite ou tout les villageois dormait à cause de l’alcool, en faite il n’y avait que Hami qui était encore debout, Hami finissait son verre et décida de sortir un peu prendre l’air, l’odeur de la taverne commençait à être nauséabonde, une fois les portes passé, Hami vit un Ninja messager assis sur les marches de l’entré de la taverne, Hami s’asseyait à coté tendis que le messager dit.


Le messager dit : « Le Kage t’attend dans sa tours, il a fait un appelle a tous les ninjas même les nouveaux et ivrognes en plus de sa. »


Hami rentra dans la taverne pour y laisser un mot marquer en mission dessus comme le faisait Zabieru et parti pour la tour afin de voir se que le Kage lui voulait. Il était enfin arrivé dans la tour, un ninja le conduisit a une salle bien précise, appeler « les centre des missions », Hami ouvra la porte, qu’allait il se passer, quelle mission
allait il avoir ?
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MessageSujet: Re: Arrivé ou Départ ?   Arrivé ou Départ ? Icon_minitime1Mar 27 Jan - 0:11

Un jour plutôt étrange, le jeune homme se leva allant en la direction de la salle de bain. La mort de sa famille l'a peut-être troublé pour qu'il se lève aussi tard. Cependant, ce jour était bizarre … Des cris venant de l'extérieur se faisaient entendre. Ce n'est surement pas marrant de se lever en un bon matin, surtout après avoir eut un cauchemar, un cauchemar pas spécialement triste mais plutôt effrayant. Son corps avait l'air d'être sortie d'un bain de sueur. La peur emmène souvent à la sueur, un sentiment qu'on éprouve plutôt en face de quelqu'un de plus fort que soit. Pour une chose plutôt variable. Après s'être laver, ce jeune Toushin descend prendre son petit déjeuner, un repas important, un repas qui permettra à cette personne de ne pas s'écrouler de fatigue. Cependant, plusieurs personnes peuvent s'en privé, leur corps leur permet de ne pas en prendre. C'est cependant important pour ne pas être fatigué en un beau matin et début de journée. Des cris de plus en plus forts se faisaient entendre. D'un geste brusque, il se dirigea vers la fenêtre, une fenêtre différente qui s'ouvrait en utilisant un mécanisme étrange. Ce mécanisme était plutôt rare … Il dirigea son regard vers la foule, étant loin, il ne pouvait voir très bien. Sa vision est bonne. C'est surtout la distance qui sépare la foule et lui. Ses autres sens sont par contre bien plus développé. Son sens de l'odorat est le plus développé. J'ignore totalement la raison mais c'est ainsi. Tikaru est plutôt bizarre mais sympathique, partagé et gentil. Il observa calmement la foule en baillant. Un homme vêtu d'un manteau en cuir arriva. Il était plutôt étrange et aimé. Je ne trouve pas en quoi il est bien mieux que moi, son air de frimeur me fait rire. Je me demandais ce que Tikaru allait faire mais il allait surement rester indifférent, lui qui a toujours trouvé les choses d'un importance majeur. Son comportement est plutôt étrange pour un Anbu, cependant, lorsqu'il n'a aucun choix que de combattre, sa personnalité de combattant l'oblige à combattre en utilisant ses qualités les plus importantes et surtout d'essayer d'éliminer ses défauts. Il sait surement qu'elles sont ses défauts et ses qualités. La foule crie deux mots comme « vive le Rizukage » … Étrange … Ce minus serait plus doué que Tikaru ?? Peut-être que mon sens de l'ouïe est mauvais … Si cela s'avère vrai, l'avenir d'Oto est totalement mort. Moi qui croyais que le Hokage serait un bon Hokage, je vois qu'un minus est au rang de Hokage. Cependant, les informations le concernant sont très très faible. Le jeune Toushin ne connait aucune information le concernant. Même son prénom qui reste totalement inconnue. Quoique, quelques hommes avait écrit « Riku » sur le sol … C'est très malin … C'est relativement difficile d'essuyer le sol alors que les citoyens ainsi que les ninja pourraient éviter de le salir. Mon analyse est peut-être incorrecte concernant cet homme. Les membres du conseil de Konoha sont surement pas si idiot de choisir une personne incompétent mais, qui sait … Cela pourrait être une erreur venant d'eux ou peut-être qu'il n'est pas Sagana, je me trompe peut-être. Il pourrait bien être le fils d'une personne importante dans ce village. Hum … Cet personne se prénommant Satojito voilait voir tous les ninja de Konoha … Cela veut donc dire que ce est Hokage ! Non, c'est peut-être une erreur … Le pauvre Toushin sous l'état de surprise, d'étonnement et de colère s'habilla aussi rapidement qu'il put. Il enfila rapidement son pantalon, son tee-shirt et son pull. Il avait l'air pressé de voir ce Satojito. Lui poser des questions et surtout, lui montrer que ce village n'est pas un village de fainéant. Par contre, il devra attendre que tous les ninja soient partis, la vue de ses actes pourraient lui coûter cher. Tuer un Rizukage ou l'attaquer est un acte criminel qui est punit par la loi. Mais bon, un Rizukage saurait normalement se défendre face à un Anbu , un ninja compétant mais pas aussi compétant qu'un Kage. Sa marche était rapide. Pas de temps à perdre, le Hokage ou plutôt l'imposteur est entrain d'aller dans la Tour du Kage ou peut-être qu'il est entrain de s'installer … Il avait l'air vieux, je dirais la vingtaine d'années, il était plutôt habillé comme une personne importante mais à mes yeux, il n'est rien qu'un simple ninja. Il ne pourra jamais avoir le respect de ce Toushin, lui qui n'a jamais aimé les Kage et encore moins celui-ci. Sa route était pas très longue, il s'arrêta un moment, une librairie plutôt intéressante ou plutôt que sa passion sur les livres est énorme.

Je vois un homme … Ou plutôt un jeune ninja sortir avec une flûte en main. Tikaru n'a jamais vue cette homme. Les informations le concernant sont à zéro. Il est peut-être nouveau tout comme Tikaru. En entrant dans la librairie, un homme était écroulé par terre. C'est surement le vendeur. Il avait un tablier, je ne sais par contre pas pourquoi il en avait un. Ce Toushin le secoua pendant quelques secondes pour qu'il puisse reprendre connaissance. Quelques secondes après, il se réveilla sous un coup de colère. Il poussa d'un geste rapide Tikaru. Il n'avait pourtant rien fais … Il avait surement mal prit sa. Sa main sort de sa poche pour lui enfiler un coup sur la nuque. Un coup pas très fort servant seulement à le calmer. Le vendeur s'est alors allongé sur le sol. Le pauvre, il est tellement bête de s'en prendre à n'importe qui … Il est encore plus bête de s'en prendre à un ninja alors que lui, il est loin d'être un ninja. Sa force n'est pas extraordinaire. La façon dont il poussa Tikaru était plutôt bizarre … Il aurait put le faire tomber au moins … Le jeune Toushin avait quelques quelques ryos pour s'acheter un livre pas très cher. Il prit un petit livre dont il ne connait pas l'écrivain … Sa passion envers les livres est quand même énorme. Moi, je n'aurais jamais pris un livre dont je ne connais rien. D'ailleurs, vous cher lecteur, vous ne prendrez pas un livre sans connaître quelques informations sur celui-ci non ?? Une de ses mains glisse le livre au fond de sa poche. Il avait pas énormément de temps pour le lire. Il continua sa course jusqu'à la tour du Hokage. Au bout de quelques secondes, il arriva. Une grande porte était devant lui. Il l'ouvre et monte jusqu'au bureau du Hokage. Il entra dans la salle. Déjà, il y avait quatre ninjas et le Hokage qui était assis sur sa chaise. Ce Anbu resta debout, mit ses mains dans ses poches en gardant ses sentiments au plus profond de son cœur ….
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MessageSujet: Re: Arrivé ou Départ ?   Arrivé ou Départ ? Icon_minitime1Mar 27 Jan - 0:15

Je voulais aussi demander si je pouvais monter au grade de Sanin ? ^^' A vous de juger ? Si vous ne comprenner pas mon histoire bah faudra lire ma presentation , sinon vous ne comprendrais pas .
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MessageSujet: Re: Arrivé ou Départ ?   Arrivé ou Départ ? Icon_minitime1

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